Là, tout de suite à l'heure qu'il est, normalement, je devrais encore être en train de chasser, mais j'ai dû mettre un terme à la journée dès 10h à cause de la pluie, qui avait bien été prévue par Météo France (enfin le problème n'est pas que ça avait été prévu ou pas, mais bien qu'il pleuve)
donc je suis bloqué là alors pour passer le temps je vais faire le compte-rendu circonstancié du week-end. Hier c'était le contraire avec la canicule qui s'est abattue - même résultat que la pluie aujourd'hui, je ne suis sorti que le matin. J'ai commencé par une expédition à la campagne, il devait y avoir plus de concurrents chasseurs que de vendeurs de gibier (les moins inintéressants pratiquant des tarifs abusifs...) bien que les exposants étaient plusieurs centaines... Après tergiversations et contrariétés locomotrices, je me suis replié en milieu plus urbain (quoique ça se passait dans un parc...) à un endroit où je vais 1 fois tous les 2 ans et où j'achète systématiquement 1 disque... la règle a bien été suivie avec l'achat sur presque le dernier bac que j'ai fouillé du premier album de René Aubry (autoproduit de ses musiques pour Carolyn Carlson), un disque avec lequel la 3ème rencontre aura été la bonne (la première c'était pas le bon disque dans la pochette, et la deuxième c'était chez un dingue qui avait collé une étiquette "40 euros" dessus) (enfin il accuse quand même le poids des ans [l'exemplaire photographié plus bas est très propre et bien conservé en comparaison...] mais pour 1 euro on ne va pas trop se plaindre). Un peu surpris à l'écoute car le disque est listé dans le bouquin de Grosse et Gueffier, or c'est du minimalisme répétitif à la Philip Glass ou Terry Riley, ça n'a rien de "rock" ni même de "prog" (ou alors en prenant une définition vraiment très large...) même si ça n'est pas sans mérite musicalement et soit susceptible d'intéresser le même type de public que des trucs genre Art Zoyd...
Ce matin avant qu'il ne pleuve et après avoir fait la connaissance d'un chien asthmatique, j'ai trouvé un disque des Shaggs, malheureusement pas leur grand classique "Philosophy of the World" mais le suivant "Shaggs'Own Thing" avec une pochette bordeaux bien craignos (et la mienne a souffert...) et un contenu un peu décevant étant donné que les soeurs Wiggin semblent avoir fait de nets progrès techniques (elles savent même faire une reprise des Carpenters presque aussi jolie - yeuaeurk - que l'originale)...
... et pour finir un album de Baroque Bordello, groupe dont le nom laissait espérer qu'il soit un clone (si possible pas mauvais) des Stranglers, et qui se révèle être un clone (plutôt pas bon) de Siouxsie and the Banshees (avec notamment une reprise minable de "Bonnie & Clyde")...
A la semaine prochaine pour de nouvelles aventures...
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