Je n'ai même pas fait la critique du dernier que le suivant arrive...

Nouvel album de VDGG prévu pour le 25 juin prochain chez Esoteric sous le titre "ALT".

Apparemment il s'agirait d'un disque instrumental improvisé (donc un peu dans le même genre que le 2ème CD sur "Present")... La version vinyle (en "édition limitée", mais on ne nous précise pas si elle sera numérotée comme l'était celle de "A Grounding in Numbers"...) a un titre qui n'est pas sur la version CD, bien que la version CD contienne 14 pistes en tout contre 9 seulement sur le LP (et dans un ordre différent aussi, tant qu'on y est). Bon, je sais pas trop ce que je vais faire mais je pense que je ne ferai pas la même connerie que la dernière fois à précommander chez les anglais, j'attendrai que ça se trouve chez un disquaire parisien (et si je le rate tant pis)...

Uschi Brüning + Günther Fischer - Konzertmitschnitt (1974)

Amiga 855414

Entre les albums-concepts roumains et les punks souterrains polonais, l'ex bloc de l'est nous réserve encore certainement quelques surprises. Comme avec ce disque dont je n'avais jamais entendu parler avant de le rencontrer, et que j'ai ramassé

Emmanuel Booz - Le Jour où les Vaches... (1974)

Atlantic 50 095

Quelqu'un peut-il me confirmer que le nom de l'artiste "Booz" se prononce "Boz" (ou "Bo oz") et non pas "bouse", ce qui me dégagerait de l'obligation contractuelle de produire un jeu de mot vulgaire avec le mot "vaches" contenu dans le titre ? Merci.

Nico - The Drama of Exile 2 le retour

Fallait s'en douter qu'à peine un mois après que je publie ma critique de "Drama of Exile" (6 messages plus bas...) où je disais en substance que je ne connaissais qu'une seule des deux versions de l'album, j'allais tomber sur un exemplaire de l'autre...

Les vaches sont debout

Météo France n'est même pas foutue de prévoir correctement le temps qu'il va faire le matin pour le reste de la journée, puisque depuis la veille jusqu'au jour même

Illusion - Out of the Mist (1977)

Island 9101 674

Le premier album d'Illusion propose du prog (ou, pour dire peut-être les choses plus honnêtement, de la pop aux influences classiques) de très belle mais aussi très traditionnelle facture (la jolie "Isadora" aurait pu séjourner à la cour du roi Crimson... et la fin du disque [la deuxième partie de "Candles are Burning" pour être précis] semble vouloir s'éloigner sur "The Long and Winding Road" [la première partie du même morceau, plus rythmée, ferait davantage penser, à la rigueur, à du Yes]...).