Bonne nouvelle (enfin ça dépend pour qui...) : je viens d'apprendre que la zone 5 et la zone 6 ont fusionné depuis le 1er juillet, je vais donc pouvoir visiter plein de nouveaux endroits :P
Pas mis cette nouvelle distribution territoriale à profit aujourd'hui, j'avais déjà verrouillé mon planning avant (que j'ai respecté de manière très élastique, ça sentait déjà les vacances). Récolte : 1 disque (bof).
C'était carnaval aujourd'hui ? Le matin et le soir j'ai rencontré tout un tas de tarés déguisés en personnages de manga (peut-être de Starwars pour certains). Ou pas déguisés mais qui tenaient des sabres japonais (ceux-là avaient peut-être voulu se déguiser en Connar MacLeod ?...). Genre maintenant on peut se balader avec un sabre dans la rue et personne ne te dit rien (comme par hasard il n'y avait nulle part aucun flic ni de patrouille de vigipirate [vous savez, les trouffions qui paradent dans les gares par groupes de trois avec des Famas pas chargés...] alors qu'il y en a plein partout d'habitude)...
Là normalement vous devez vous demander quel est le rapport avec le titre du message. Je retourne donc au samedi matin (premier vide-grenier) : j'avais déjà eu plusieurs occasions de voir des pigeons manger dans du vomi, mais là ce qu'ils picoraient ressemblait franchement à de la merde. Bon signe pour commencer la journée, non ? S'ensuivent deux vide-greniers dans des quartiers moches (moches se rapporte à quartiers et à vide-greniers...) (enfin dans le premier il y avait quand même un bac avec plein de bonnes choses mais le gars avait décidé de vendre cher - y en a marre de ces mecs, qu'ils fassent ça en convention si ils veulent mais qu'ils arrêtent d'encombrer les vide-greniers...) et un troisième ailleurs où j'ai regretté de ne pas être venu plus tôt car sur le premier bac enfin intéressant que j'ai rencontré, il y avait déjà un type qui en a tiré sous mon nez quelques disques (majoritairement new-wave) que j'aurais éventuellement bien voulu avoir. Heureusement il a quand même laissé un disque de The Sound sur lequel il est passé sans réagir. Comme disait le professeur Choron : y a rien de pire que l'inculture (m'enfin l'inculture des uns rend parfois quand même un peu service aux autres...)
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